Au Pays Imaginaire

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Policier


L'énigme du message perdu

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L'énigme du message perdu

Les enquêtes d’Enola Holmes, tome 5

Auteur : Nancy Springer

Maison d’édition : Nathan Poche

Année d’édition : 2012

Prix : 7,00€

Genre : Policier

 

4ème de couverture :

1889, Londres. En rentrant chez elle, Enola découvre que sa logeuse Mrs Tupper a été enlevée. La jeune fille se jure de retrouver cette chère vieille femme. De filatures en fouilles acharnées, elle trouve un mystérieux message brodé sur un ruban de crinoline. Son enquête la mène bientôt à la célèbre Florence Nightingale, militante de l'amélioration des soins médicaux, en particulier auprès des blessés de la guerre de Crimée, trente ans auparavant. La grande dame pourrait bien être à l'origine du message crypté, qui, dévoilé, provoquerait un véritable scandale...

 

Avis :

Me revoilà plongée dans le Londres du 19ème aux côtés d’Enola. Cette fois, il est très important pour elle de résoudre l’énigme qui se présente à elle (plus que d’habitude). En effet, sa logeuse s’est fait enlever ! Enola ne veut pas perdre celle qui a remplacé sa mère en s’occupant d’elle lorsqu’elle en avait besoin. Mais Enola ne comprend vraiment pas qui pourrait en vouloir à cette brave dame dont le seul élément remarquable est qu’elle a accompagné son mari lors de la guerre de Crimée. Et, comme seuls indices, Enola possède un message écrit par le ravisseur, un lien obscur avec une figure emblématique de la guerre de Crimée. Et, si j’avais déjà entendu parler de Florence Nightingale, dont je savais qu’elle avait été infirmière, je n’en savais pas plus à son sujet. Or, c’est elle la figure emblématique dont je parlais, et j’ai pu apprendre qu’elle avait fortement contribué à soulager les soldats blessés lors de cette guerre. Le livre donne d’autres informations sur elle, mais à propos de celles-là, je ne sais pas où s’arrête la réalité et où commence la fiction.

Comme toujours, Enola parvient à trouver la solution avant son frère, parce qu’elle est meilleure que lui. Non. C’est une blague, et ce n’est pas un débat dans lequel je souhaite entrer. Mais ce qui est certain, c’est que si Enola n’avait pas été du sexe faible, elle n’aurait jamais pu résoudre cette énigme, car elle serait passée à côté du plus gros indice dont elle a disposé.

Cette fois, je suis vraiment admirative du scénario, et de l’enquête. Ils sont réellement bien construits. Le fait que l’auteur se soit basé sur une personne réelle pour créer son histoire et doive par conséquent intégrer dans son scénario des éléments réels l’a sans doute poussé à soigner davantage les liens entre les différents éléments. C’est du moins le sentiment que j’ai eu. En ce qui concerne l’enquête, il n’y a cette fois que des indices qui mènent vers de nouveaux indices, tout s’enchaînant de manière logique. Hormis un seul élément plus hasardeux (et encore, cela se discute, car cet éléments hasardeux a été découvert dans un endroit au centre de l’enquête), tous les autres indices ont réellement été découverts. Enola a dû les chercher.

En ce qui concerne les personnages, on n’en découvre réellement que trois. La première est Florence Nightingale, une personne admirable. C’est d’ailleurs sous ce jour que la présente l’auteur. Outre le bien qu’elle a fait durant la guerre de Crimée, Madame Nightingale est également une féministe. Elle est très altruiste et n’hésite pas à venir en aide à qui en a besoin et mettant tout en œuvre pour aider cette personne. C’est aussi une personne excentrique. Tout d’abord, elle reste confinée dans sa chambre, refusant la majorité des visites. Ensuite, elle laisse sa maison ouverte à tous, et chacun peut y consulter des livres, …. Voilà qui fait d’elle un personnage que j’apprécie énormément.

Les autres personnages sont deux frères dont je vais éviter de parler pour ne pas trop en dévoiler. Je dirais juste que leurs caractères correspondent à leurs rôles.

Pour terminer, je vais parler de ce que j’ai adoré dans ce roman. Mais en plus de cela, entre Enola et Sherlock, le changement apporté dans leur relation au tome précédent se voit encore plus ici. Enola a une nouvelle fois besoin de son frère et lui fait confiance pour l’aider. Mais il y a un tournant encore plus décisif dans la relation entre Sherlock et Enola, tournant provoqué par Florence Nightingale, qui se reconnait en Enola et qui comprend pourquoi elle a agi comme elle l’a fait. Elle se charge aussi de l’expliquer au grand frère.

 

Notes

Scénario : 4/4

Ecriture : 2,5/3

Personnages : 2/2

Originalité : 1/1

Total : 9,5 /10


05/01/2018
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L'Affaire Lady Alistair

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L'Affaire Lady Alistair

Les enquêtes d'Enola Homes, tome 2

Auteur: Nancy Springer

Maison d'édition : Nathan Poche

Année d'édition: 2010

Prix: 7,00€

Genre: policier

 

4ème de couverture

Ceux qui disent que Sherlock Holmes est le meilleur détective du monde ignorent encore l'existence de sa sœur : Enola Homes !

Deuxième enquête pour Enola Holmes : retrouver une jeune lady disparue dans les dangereux bas-fonds de Londres...
Londres, 1889. Enola Holmes, sœur du célèbre Sherlock, ayant échappé à la vigilance de ses frères, a ouvert sous une fausse identité un cabinet de " Spécialiste en recherches, toutes disparitions ". Son premier client : le Dr. Watson en personne !... Il cherche précisément à retrouver la piste d'Enola, qu'il ne reconnaît pas . 
Si Enola ne peut aider Watson, elle s'intéresse à un autre cas qu'il lui mentionne : la disparition de la jeune fille d'un baronet, Lady Cecily Alistair, une adolescente loin d'être bien comme il faut...

 

Avis

C'est avec un grand plaisir que j'ai retrouvé Enola. D'autant plus que je l'ai trouvée grandie. Ses dernières aventures l'ont forcée à pousser sa réflexion plus loin mais aussi à se dégager de l'innocence et de la naïveté qu'elle avait encore. De plus, alors qu'à la fin du 1er tome, on l'avait laissée seule, sans endroit où aller, ne possédant que ce que sa mère lui a laissé, on la retrouve maintenant bien établie dans une vie de demoiselle "convenable". Dans ce tome-ci, la jeune fille décide de venir en aide aux populations les plus démunies. C'est sur ce problème sociétal que s'attarde cette fois l'auteur, en choisissant d'y mêler des personnages marxistes vantant les soulèvements ouvriers pour soutenir leurs revendications. De plus, l'auteur soulève les inégalités entre ces classes "basses" et la noblesse, ainsi que le mépris qu'éprouve cette dernière vis-à-vis des premières.

Ce que j'ai beaucoup aimé dans ce roman, c'est le soin apporté au personnage de Cecily Alistair. L'auteur l'a voulue différente des jeunes filles de son époque, et a créé pour cela une différence physique. La jeune lady est gauchère, ce qui caractérise très bien sa marginalisation. Et c'est dans des détails tels que celui-là que l'on voit qu'il s'agit d'un roman pensé et travaillé.

Une chose que j'ai également beaucoup aimée également est que l'auteur aurait pu, maintenant que le contexte a été placé dans le premier tome, ne plus faire apparaître Sherlock et Mycroft et laisser Enola en paix, ce qui aurait laissé sous entendre que le côté policier est le plus important dans cette série. Or, il n'en est rien, et l'on voit que c'est autant les relations entre les personnages qui intéressent l'auteur que le côté "énigme". Ce roman est donc avant tout humain. Cet aspect a également l'avantage de lier les tomes entre eux et d'en faire de véritables suites: on sent que l'histoire n'est pas terminée. Bref, un excellent second tome qui donne envie de continuer la lecture....

Pour ce qui est du scénario, il est vraiment très intéressant aussi. L'histoire est peu banale et surtout, elle a un côté assez étrange, mystérieux, une chose qu'on ne comprend pas vraiment. Encore une fois, l'auteur montre qu'il a réellement construit son histoire avant de l'écrire, qu'elle a réfléchi à tous les moyens de mener son histoire à terme, comme elle le voulait.

 

Notes:

Scénario: 3/4

Originalité: 1/1

Style: 2,5/3

Personnages : 2/2

Total: 8,5/10


14/09/2017
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La double disparition

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La double disparition

Les enquêtes d'Enola Holmes, tome 1

Auteur: Nancy Springer

Maison d'édition : Nathan Poche

Année d'édition: 2009

Prix: 7,00€

Genre: policier

 

4ème de couverture:

Ceux qui disent que Sherlock Holmes est le meilleur détective du monde ignorent encore l'existence de sa soeur : Enola Holmes !

1888. Le jour où Enola Holmes découvre que sa mère a disparu, elle pressent qu'elle seule pourra la retrouver. Elle qui a grandi libre, est alors soumise par ses frères à l'apprentissage des bonnes manières d'une lady, puis expédiée droit vers un pensionnat de jeunes filles. Mais la chère enfant a du cran et de la ressource et elle échappe à son détective de frère, plongeant dans les bas-fonds de la capitale...

 

Avis

Lorsque j'ai lu pour la première fois ce roman, j'ai été emballé par le fait que le personnage principal soit la sœur de Sherlock Holmes. Cela, combiné au fait que ce roman soit destiné à un public jeune m'a fait plaisir, car il s'agit pour moi d'attirer l'attention d'un public qui ne le connaît pas sur les romans d'Arthur Conan Doyle. De plus, ce récit raconté par une adolescente de quatorze ans permet aux plus jeunes lecteurs de s'identifier à elle, du moins les filles, car je ne suis pas certaine que les garçons de cet âge aient envie de lire une histoire dont l'héroïne soit une fille.

Cette série se déroulant au XIXè siècle, elle a aussi l'avantage d'attirer l'attention sur les problèmes de la société à cette époque. L'auteur nous montre clairement quelle est la place de la femme, qui ne peut rien décider, qui est obligée de porter un corset pour satisfaire aux critères de beauté décidés pour elle, ... Toutefois, c'est dit de manière "subtile" , avec humour, et en détournant le sujet sur autre chose. Ce roman nous montre en effet une jeune fille de quatorze ans dont la mer a subitement disparue. Contrainte de demander de l'aide à ses deux frères, elle découvre ainsi que ceux-ci pensaient fournir des moyens à leur mère pour entretenir le domaine où elle vire. Seulement voilà, cette propriété n'a jamais été entretenue. De nombreux domestiques, dont une gouvernante, devaient également être payés avec cet argent, mais il n'y a en tout et pour tout que 2 vieux domestiques. Sans gouvernante, Enola est devenu un véritable garçon manqué, grimpant aux arbres, se cachant dans la forêt, ... L'aîné prend alors la décision de placer la jeune fille en pensionnat, torture qu'Enola refuse de subir. Grâce à d'importantes sommes d'argent laissées par sa mère, Enola s'enfuit et gagne Londres. Chemin faisant, elle apprend la disparition d'un jeune Lord. Admirant son frère Sherlock, le plus grand détective de son temps, Enola décide de mener l'enquête et parvient à résoudre l'énigme.

Son personnage est particulièrement bien travaillé. Cependant, je trouve qu'elle est agaçante parce qu'elle est fort gamine. D'un autre côté elle n'a que quatorze ans et que peut-on attendre d'autre?

Le style est très bon, le vocabulaire est soutenu. Pourtant, c'est un roman qui se lit bien, très bien. Les phrases ne sont pas lourdes, ce qui en fait un véritable roman pour adolescent. L'autre point positif est que le livre est parsemé de messages codés, qu'on prend un malin plaisir à décoder.

Il ne reste qu'une chose à dire: vivement la suite!

 

Notes:

Scénario:2,5/4

Originalité: 1/4

Style: 2,5/3

Personnages : 1/2

Total : 7/10


07/09/2017
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L'homme aux doigts bleus

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L'Homme aux doigts bleus

 

 

Auteur : Jean FAILLIER

Maison d’édition : France Loisirs

Année d’édition : 2017

Prix : 9,99 €

Genre :Policier

 

4ème de couverture :

Mary Lester est à La Baule pour infiltrer un golf dans lequel se passeraient des trafics peu catholiques.
La tâche, périlleuse, n'est pas sans agréments : passer pour une étudiante, jouer sur un golf prestigieux et bronzer sur la plage en se faisant draguer par un charmant fils de famille.
Mais Mary n'a jamais su renoncer à chercher ce qui se cache derrière l'insolite.
La mort de Victoire, sur le green, est-elle aussi naturelle qu'il y paraît ? Comment « l'homme aux doigts bleus » peut-il, après sa mort, faire encore des victimes au golf du Bois Joli ?

Avis :

 Je dois m'avouer quelque peu déçue par ce roman. Je m'attendais à un vrai roman policier, et je me retrouve davantage face à un roman avec des policiers. Bon, d'accord, je suis trop sévère: il y avait certes une véritable enquête policière, avec de véritables enquêteurs. Mais je déplore le fiat que l'on n'assiste pas aux raisonnements et aux réflexions du personnage principal. Mary Lester, puisque tel est son nom, ne donne pas l'impression d'enquêter réellement et puis débarque un beau jour avec la solution. Enfin, si, elle enquête, mais cela ressemble davantage à du piétinement. Et puis pouf! Magie! Voilà la solution, le tout déduit dans sa jolie -ou non- petite tête! Au final, j'ai eu davantage l'impression de lire "Mary en vacances" ou "Mary fait du golf", histoire au cours de laquelle des aventures inhabituelles lui seraient arrivées.

Pour ce qui est es personnages, j'ai tout de même apprécié& Mary. Elle est un peu rebelle, elle a une touche d'humour et n'est absolument pas fade, ce qui donne quad même lieu à de très beaux moments.

En ce qui concerne le style maintenant, je déplore le manque de descriptions. Certes, cela permet au lecteur de mieux s'imaginer ce qu'il souhaite. Mais je trouve tout de même important que l'auteur plante son décor. C'est son histoire, et il ne doit pas l'oublier. Sans compte que, selon moi, les descriptions montrent l'habileté et les qualités de l'auteur. Un auteur qui ne décrit pas est un auteur qui ne sait pas décrire et donc qui n'écrit pas si bien. Certes, c'est un raccourci très rapide, mais c'est celui que j'ai tendance à prendre, voilà pourquoi je le mentionne.

 

Ceci ne donne pas un réel aperçu de l'histoire, et encore moins de l'enquête, du moins en terme de contenu réel. Ce qui est intéressant, mais assez habituel, ceste que l'auteur propose deux enquêtes: la première aboutit à la seconde. Ce qui est assez intéressant dans ce cas-ci, c'est que l'inspecteur Lester est en mission d'infiltration. Et je dois dire qu'elle joue assez bien son rôle, ce qui a peut-être également provoqué chez moi cette impression de "Mary en vacances". Je vais don me répéter en disant que pouvoir suivre les réflexions de Mary aurait permis à la fois de mêler ce côté "discrétion" de l'infiltration, mais de le conjuguer avec l'enquête proprement dite.

Hormis cela, je pense pouvoir dire sans trop en révéler et ôter toute envie de lecture que les solutions des eux enquêtes sont réellement bien pensées et très logiques, bien que, du moins pour la première, très difficilement déductible à cause de l'absence d'informations. bref, on voit que l'auteur a très bien réfléchi son enquête, construisant toute l'intrigue t tous les événements sur celle-ci. Ce qui est plutôt pas mal.

 

Notes

Scénario : 2,5/4

Ecriture : 2/3

Personnages : 1,5/2

Autre : 0/1

Total :  6/10

 


01/09/2017
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Je t'ai donné mon coeur

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Je t’ai donné mon coeur

 

Auteur : Mary HIGGINS-CLARK

Maison d’édition : Albin Michel

Année d’édition : 2009

Prix : 22,80€

Genre : policier

 

4ème de couverture :

Natalie Raines, célèbre comédienne des théâtres de Broadway, est assassinée après avoir découvert accidentellement l’identité du meurtrier d’une amie de jeunesse. Elle était en instance de divorce de Gregg Aldrich, un agent théâtral sur qui se portent tous les soupçons. Deux ans plus tard, un malfrat déclare à la police qu’Aldrich lui avait commandité le crime de Natalie et qu’il avait refusé. Se fondant sur ce témoignage, un Grand Jury fait comparaître Aldrich pour un procès qui s’annonce retentissant. Le procureur général charge de l’affaire Emily Wallace, son assistante, en la prévenant que sa vie personnelle risque d’être exposée, notamment le fait qu’elle ait subi une transplantation cardiaque. Au cours du procès, Emily ressent des sentiments qui défient la raison et dont elle ne réussira pas à se défaire, même après la condamnation d’Aldrich. Ce qu’elle ignore, c’est que sa propre vie est maintenant menacée…

 

Avis :

J’ai la fâcheuse tendance de ne pas réellement apprécier les romans de Mary Higgins Clark autant que je le voudrais, car je trouve que tous se ressemblent. Toutefois, celui-ci est différent. L’histoire raconte un procès, ce que j’aime beaucoup. De plus, il s’agit d’un homme qui se proclame innocent du meurtre de sa femme alors qu’un témoin – criminel multirécidiviste- témoigne du contraire.

L’intrigue est tout de même assez simple, ce qui explique sans doute que l’auteur ait décidé d’y mêler une seconde. Malheureusement, bien que ça augmente le suspense, cela me paraît peu crédible. L’héroïne a vraiment tous les malheurs du monde… Son mari est mort à la guerre, elle a subi une transplantation cardiaque et elle a attiré l’attention d’un tueur en série qui en a fait sa prochaine cible. Malheureusement, ces deux intrigues (le procès et le tueur en série), ne sont liées que par le personnage principal, substitut du procureur qui représente l’accusation au procès. Et on cherche donc l’intérêt d’imbriquer ainsi deux histoires l’une dans l’autre.

Un autre point qui me semble intéressant dans ce roman est le lien qui unit la substitut du procureur à l’accusé, sans qu’ils ne le sachent. Et là, je reste sur ma faim. D’accord, l’auteur est restée très sobre et, d’un côté, je ne peux que l’en féliciter : pas de conte de fées tiré par les cheveux ici. Pourtant, pour une fois, il aurait été possible d’écrire une fin « classique » (ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants, vous voyez ce que je veux dire ? ), sans que cela ne soit « trop ».  L’auteur ne saisit pas cette occasion de développer son histoire. Ce qui me laisse perplexe. Je vois tant de possibilités de modifier ce roman pour qu’il me paraisse meilleur que je trouve cela effarant. Cela ne devrait pas être possible… Voilà pourquoi, malgré un roman différent de ce qu’elle propose d’habitude, j’ai été déçue. Certes, je n’ai rien à redire au style. Certes, les personnages sont intéressants, développés, …  Mais il n’en reste pas moins un brin de déception…

 

Notes :

Scénario : 1,5/4

Ecriture : 2,5/3

Personnages : 1/2

Originalité : 0/1

 

Total : 5/10


11/08/2017
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